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Comme
l'enfant essaie d'ouvrir la poitrine de fer d'un pantin
qui l'amuse pour voir ce que contient cette poitrine, comme
l'enfant qui, ayant découvert les ressorts qui animent
la marionnette, veut d'un geste précis et brutal
ouvrir la poitrine du chaton qu'il caresse et cajole pour
voir quelle est la source de ce ronron qui l'intrigue et
qui ne trouve qu'un pauvre cur sanglant et pantelant,
vous essayez toujours d'aller plus loin, au cur des
choses, dans un geste qui, souvent, au lieu d'apporter la
découverte intéressante et valable, n'apportera
que le regret d'un crime et d'une souffrance que vous aurez
provoquée à l'autre et à vous-même.
Après
avoir longuement exprimé notre tristesse et dois-je
le dire, notre déception, vous me permettrez de demander
une fois encore à Dieu de tendre avec plus d'insistance
une main d'amour pour écarter de vous ces dernières
brumes qui obscurcissent votre vue et arrêtent vos
pas.
Je voudrais demander à Dieu que sa main se tende
pour essayer de faire naître dans vos esprits souvent
endormis et paralysés, ce déclic qui fera
ouvrir votre porte sur une compréhension plus puissante
et plus valable.
Nous
sommes vigilants autour de vous, amis, mais de grâce,
sachez que cette vigilance s'exerce dans l'amour comme dans
la sanction, et sachez que nous ne tolérerons plus
les mouvements d'orgueil, d'indifférence, de nonchalance,
les mouvements d'hypocrisie, de jalousie, les mouvements
d'impatience, les sentiments de rancur, les sentiments
de haine qui se camouflent souvent sous un sourire doucereux.
Notre
main peut être douce pour apaiser des souffrances,
mais notre main peut être ferme pour empêcher
et sanctionner.
Souvenez-vous toujours que nous essayons de vous régénérer
à une source d'Amour et de Vie afin que vous puissiez
aller sur un chemin de bonheur et de joie en ayant au cur
une reconnaissance infinie pour ce Dieu qui est toujours
présent et alors, enfants, curs unis et âmes
fusionnées, vous pourrez dans la joie, dans l'élan
retrouvé, dire :
«
Gloire à Dieu !
»
Archange Raphaël
médium : marcelle olivério
quand le Ciel parle
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