• João de Deus… ou le dévouement d'un homme à l'humanité…
• Il opère… les yeux bandés…
• Qui est João Teixeira de Faria…
       
- Intermédiaire entre le monde des vivants et celui des morts…
        - Même de la prison
• Le Centre d'Abadiania au Brésil…
• L'homme en chaise roulante… Qu'avait-il à perdre ?…

 

 



 

Casa de Dom Inácio

 

João de Deus, l'Homme miracle du Brésil...
un article de la revue « Nexus » - Australie

 
   

…Les interrogations concernant nos origines et le but de l’existence, occupent le plus souvent notre esprit un bref moment avant que nous ne sombrions dans l’état de sommeil. Une fois achevée notre journée de travail, nous regardons le journal de 20 heures et nous nous repaissons de télévision jusqu’à la lassitude. Dans le noir, en état d’attente, entre l’extinction des feux et l’accueil voilé du sommeil, l’esprit s’enquiert régulièrement de notre raison d’être. Je sais ce qu’il en est !

J’étais comme n’importe lequel d’entre vous, un travailleur zélé, consciencieux et ambitieux, et après 25 années de journées de travail de 12 heures, j’avais l’impression d’avoir réussi. J’étais un homme d’affaires bien implanté, fier propriétaire de plusieurs bijouteries, je savourais les fruits de mon labeur : une grande résidence au bord de l’eau, un appartement luxueux sur la plage, d’autres investissements immobiliers, une Mercédes, et une éducation privée pour mes deux fils.
Mais profondément en moi, j’avais souvent la sensation que la vie devait avoir un but plus grand. A coup sûr, cela ne pouvait pas être. Alors un jour, de façon assez inattendue, le Seigneur m’est apparu, en l’occurrence, sous la forme d’un banal et commun voleur qui dévalisa une de mes bijouteries, réduisant à des clopinettes ma vie matériellement si merveilleuse.
Alors que je contemplais, assis, les conséquences qu’allait avoir une police d’assurance ne couvrant pas la perte occasionnée par le vol, j’eus un premier éclair de lucidité me montrant combien une vie purement matérielle était fragile et futile.
Ce fut durant les mois lugubres de la liquidation qui suivirent que je fus forcé de chercher une signification plus profonde à la vie. Lorsque le monde s’est finalement arrêté de vaciller, une fois envolé tout ce à quoi j’avais tenu : mariage, biens, propriétés, revenus, et surtout ma propre estime, il était temps de chercher une autre raison de vivre, non motivée, je m’empresse de préciser, par le ritualisme des nouvelles religions ou le fanatisme zélé des nouvelles générations.
Mes années de commerçant avec ses calculs, autres supputations à la recherche d'intérêts m’avaient conditionné à une attitude factuelle à l’égard de la vie, et j’avais donc besoin de faits irréfutables pour fonder toute nouvelle croyance.

Il m’a été donné d’observer, en toute première main, la preuve irréfutable de la raison de notre existence.
Le contenu de ce livre est basé sur mes observations personnelles.

Les questions de nos origines et de notre destinée sont rarement étudiées lors de la ruée pour la survie financière que sont devenus les temps actuels.
Le bazar des affaires situé entre le café au lait et le journal de 20 heures ne laisse guère de temps aux réflexions introspectives. Cela demande beaucoup de temps, et du calme. Cela demande de l’instruction, un certain niveau d’éducation dans un domaine aux antipodes du matérialisme, totalement intangible et incompréhensible, littéralement… un autre monde.

Le dévouement d’un homme à l’humanité…
En tant qu’êtres humains physiques, nous avons besoin de preuves pour croire.
Pour l’essentiel de ma vie, je n’ai accepté comme réel que ce que je voyais, ressentais, goûtais, ou mettais dans ma caisse enregistreuse.
J’étais le dernier des sceptiques.
En ce jour mémorable de janvier 1996, alors que je foulais pour la première foi le sol du hall d’entrée à Abadiânia, je me trouvais à portée de main de l’action même… Armé d’un appareil photo et flash, à l’affût de la botte secrète, du tour de passe-passe ou de l’évident stratagème…

Les yeux bandés…
Ce que je vis alors m’abasourdit, tout comme cela abasourdit les milliers de ceux qui viennent ici pour la première fois. Je vis Raul se lever de son fauteuil roulant après cinquante années de paraplégie, et… marcher. Encore sous le coup, mon incrédulité reçut le coup de grâce lorsque j’assistais à l’extraction d’une tumeur de l’œil sur une femme pratiquée par un João aux yeux bandés, équipé d’un couteau de cuisine.
Maintenant, après avoir observé un nombre incalculable d’opérations, de soins et de guérisons, y compris de mon propre asthme chronique, je décidais de convertir ces énergies que je gaspillais par mon scepticisme et fausse sophistication, à écrire une simple chronique du dévouement d’un homme à l’humanité… dévouement d’un degré et d’une sincérité tels qu’ils défient la logique occidentale.
Nous avons tous besoin de preuves comme moyens de vérification, mais parfois, même lorsque nous voyons l’évidence, elle reste difficile à accepter parce que sa compréhension contredit notre bagage culturel occidental.
Ainsi en est-il en ce qui concerne les guérisons dont João Teixeira de Faria est l'auteur…

Qui est João Teixeira de Faria ?
João est un homme humble dont la vie possède un objectif double : soigner la maladie et rendre les gens conscients du fait que nous sommes présents sur Terre pour améliorer la position de notre âme parce que nous faisons dans notre vie de tous les jours…
Bien que João soit probablement le médium-guérisseur le plus connu, observé, testé jamais recensé dans notre monde, il reste difficile à l’auteur le plus consciencieux de concevoir une biographie cohérente. L’information concernant la prime enfance est ténue. Sa jeunesse fut plus occupée à répondre aux questions de survie qu’à des demandes de rendez-vous.
Même rudimentaire, toute tentative d’établir une liste chronologique des événements de sa vie s’avère être infructueuse. Il n’y a aucun document excepté ceux des archives de son association, mais ceux-ci divergent largement dans leurs versions des faits.

João lui-même est une source d’information pauvre en détails dans la mesure où il ne se rappelle rien des actions qui sont les siennes puisqu’il est l’hôte d’un Esprit, d’ailleurs il reste en partie sous leur influence même lorsqu’il n’est pas investi.
Les médiums de haut niveau sont, pour la plupart,"réglés" sur les fréquences élevées de l’Esprit qui l'inspire en permanence. De façon comparable à une télévision dont on aurait coupé le son, ils"fonctionnent" toujours, mais leur attention est divisée.
Même aujourd’hui, son travail se résume à une succession de miracles, accomplis si rapidement et à une fréquence telle, qu’il est presque impossible d’enregistrer les détails de l’un qu’un autre est déjà en train de se produire…
Le nombre de personnes qui attendent une aide de João ne laisse que peu de temps à l’enregistrement et au classement de données précises. Il opère et soigne plus de patients en un jour que ne le ferait un important hôpital occidental en un mois. Les membres du personnel sont tous bénévoles, mais seul un d’entre eux consacre deux jours par semaine à l’enregistrement administratif des actes. Et cela afin de produire une preuve.
Nous autres, les humains, sommes d’étranges créatures. Parfois nous voyons l’évidence mais rejetons toute explication et nous luttons pour construire une réalité en conformité avec notre connaissance limitée, qui ne menace pas de faire chavirer l’esquif de notre conscience, ou qui n’exige pas de changements radicaux de notre vie ou ne secoue pas trop la coquille sécurisante de notre perception et de notre compréhension.
A la lumière des preuves que rapporte ce livre, je ne vois aucune explication alternative.
João Teixeira de Faria en est la preuve vivante. Il a été testé et examiné par les meilleurs esprits scientifiques de la planète. Il accueille et permet ces enquêtes dans l’espoir de démontrer à chacun la réalité du « monde de l’Esprit » et l’importance de vivre correctement cette vie pour nous élever au stade suivant, plutôt qu’endurer une nouvelle pénalité karmique.
João dédie sa vie à soigner les malades et les incurables, sans salaire, ni indemnité aucune. Il encourage les enregistrements vidéo de son travail quotidien et accueille la présence de tout observateur, spécialement de médecins dont la participation est particulièrement appréciée.
Voir João passer la main sur la poitrine d’une femme diagnostiquée atteinte d’une tumeur maligne, et lever ensuite sa chemise pour constater une nette incision, nettement refermée, et la disparition de la tumeur, fait jaillir à l’Esprit de tout observateur la même question :
– « Qui a fait cela ? »
La réponse à cette question est reliée à celle que nous nous posions dans ces moments calmes de nos nuits :
– « Quel est le sens de tout cela ? »
Peut-être l’histoire de la vie de cet homme vous aidera-t-elle à trouver les réponses à ces interrogations ?

Un intermédiaire spirituel entre le monde des vivants et celui des morts…
João Teixeira de Faria est, d’une façon démontrable, un des médiums le plus puissant vivant actuellement sur la planète, et fait sûrement partie des plus grands qu’ont connu ces deux derniers millénaires.

Un médium, tel que le définit le dictionnaire d’Oxford, est une personne qui est un « intermédiaire spirituel entre le monde des vivants et celui des morts. »
João, non seulement communique avec les Esprits, mais il les incorpore. L’Esprit le fait littéralement "décoller" et, ce faisant, João perd conscience, s’éveillant quelques heures plus tard sans aucune mémoire des actions qu’il a produites durant l’incorporation. Son corps est utilisé comme un outil de chirurgie physique et de traitement de la maladie par les Entités qui travaillent ainsi à travers lui. Cela paraît miraculeux…

En prison…
Le don de João n’est pas héréditaire. Ce n’est pas une technique apprise ou transmissible à une autre personne.
A l’âge de seize ans, il a accepté de dédier sa vie à soigner en permettant l'incorporation d'Esprits. Il a accepté la tâche d’une vie qui lui demanderait beaucoup d'abnégation et de travail, le rétribuerait fréquemment par l’abus, les privations personnelles, les persécutions et même… l’incarcération.
Bénéficier de la confiance des Esprits pour une telle responsabilité requiert une personne forte, morale, droite mais aussi humble, avec une intégrité indubitable. Comme si ces restrictions et ces critères puritains n’étaient pas suffisants,
il doit aussi offrir ses services totalement gratuitement, sous peine de perdre son don.

Pour pouvoir appréhender l’importance de ce don, et pour comprendre les faits étonnants et réels difficilement relatés dans ce livre, vous devez accepter, même temporairement, les croyances suivantes :
       1. Nous avons tous vécu de nombreuses vies avant celle-ci. Nous sommes incarnés et après cette vie nous nous réincarnerons encore dans une nouvelle vie. (Il existe beaucoup de cas très bien documentés de séances d’hypnoses qui ont ramené un nombre incalculable de personnes dans leurs vies passées. Ils parlent alors des langues qui leur sont étrangères et décrivent en détail les modes de vie et les lieux d’autrefois, informations souvent validées par les enquêtes qui suivirent).
       2. Si on retire la coquille physique que nous appelons le corps, ce qui reste est le vrai nous-même : notre âme ou Esprit. Cette essence éternelle est en perpétuel état d’amélioration ou de détérioration selon nos actions dans chaque vie physique.
       3. Le libre arbitre est le seul moyen pour notre moi physique, et donc pour notre âme, d’améliorer sa position tout au long de sa vie et même après votre décès.
       4. Le Karma est le processus par lequel nous devrons payer nos dettes pour nos mauvaises actions et serons récompensés pour le bien que nos actions ont engendré dans chacune de vos vies.
Si nous avez tué, volé, menti, ou nuit dans une vie antérieure, nous avons toutes les chances de souffrir de quelque maladie ou de graves conflits dans votre vie présente. Inversement, si nous avons été attentifs à autrui, honnête et moral, notre âme aura pu s’élever et nous serons probablement en bonne santé et bien équilibré.
       5. Il y a bien un monde spirituel, qui est beaucoup plus complexe que le monde physique. Il est beaucoup plus puissant et incomparablement plus merveilleux pour ceux qui y ont mérité leur place. Il est pluridimensionnel et comporte de nombreux niveaux constituant les multiples étapes de développement que traversent les âmes. Plus de 150 expériences de « mort imminente » (N.D.E. : Near death experience) étudiées par Kenneth Ring (auteur de : Heading Towards Omega : in Search of the Meaning of N.D.E.) ont toutes rapporté des observations similaires qui viennent appuyer cette thèse.
       6. Les esprits, bons et mauvais, nous accompagnent tout le temps. Beaucoup de ces étranges coïncidences que nous remarquons (habituellement parce que nous les souhaitons profondément), sont le résultat de pensées inspirées ou suggérées par des Guides spirituels ou des Esprits protecteurs. Cela ouvre à une nouvelle compréhension du verset biblique : « Demande et tu recevras ».
       7. Nos corps humains sont générés et protégés par des champs d’énergie. Ils comportent sept couches de densité et de fréquence vibratoire différentes, et sept chakras. Certaines personnes peuvent voir ce que l’on nomme souvent « auras ». Si nous vivons sainement et proprement, nos champs d’énergie nous protègent très efficacement.
Dans le cas contraire, si nous abusons de nous-mêmes en consommant de l’alcool, des drogues, ou tout autres moyens impropres de vie, ces champs s’affaiblissent, sont attaqués et subissent des atteintes indésirables. Les maladies commencent par atteindre ces couches externes qui perdent leur qualité vibratoire…
João soigne jusqu’à 2 500 patients en 3 jours…

La marque du succès de João est facilement observable : des milliers de personnes qui foulent le sol du Centre, sorte d’hôpital, chaque mercredi, jeudi et vendredi.
Lorsqu’il voyage (Chili, Argentine, Portugal), João soigne jusqu’à 25 000 patients. Les malades font la queue pendant des heures, parfois toute la nuit, pour le voir.
Il ne refuse jamais personne, du moment que ses intentions sont pures.
[N.d.l.r. - Un jour, au Portugal, João officiait, et un jeune homme qui voulait être soigné par lui, a… "brûlé" quelque trois ou quatre places pour passer avant d'autres personnes… Quand celui-ci a été confronté à João isolé dans une petite pièce, l'Esprit qu'il incorporait a tourné la tête et n'a pas répondu au malade. Celui-ci est reparti faire la queue… Confronté de nouveau au guérisseur, l'Esprit qui incorporait Joao a une fois encore, tourné la tête et est resté silencieux… refusant de mettre les mains sur ce garçon qui avait triché. Tout cela démontre que ce qui a cours sur un Plan humain, n'a pas cours sur un Plan spirituel… et que la guérison doit se mériter]
Bien qu’étant lui-même un dévot de Dieu, il accueille chacun sans préjugé religieux.
Il soigne exactement de la même façon les pauvres, les riches, les anonymes ou les personnes célèbres.

L’élite mondiale demande également son aide lorsque la médecine traditionnelle échoue : les actrices Shirley MacLaine et Janet Leigh, des membres du Congrès, des gouvernants, des prêtres, des nonnes, des rabbins, les pauvres aussi bien que les prospères trouvent leur chemin jusqu’au petit village de Abadiânia, au cœur du Brésil, pour obtenir l’aide de João Teixeira de Faria, connu au Brésil sous le nom de « João de Deus » (Jean de Dieu)
Dans une certaine mesure, l’appeler « l’Homme Miracle » est un non-sens, car la notion de miracle implique l’absence de lois naturelles capables de l’expliquer, et dans les faits, ses performances sont seulement le résultat de la loi de la réincarnation et de son utilisation par des Esprits médecins ou guérisseurs depuis le Plan spirituel. On les qualifie de "miracles" uniquement dans un monde occidental récalcitrant à accepter qu’un monde de l’Esprit existe et que le travail de João est le simple résultat de ses lois.

Le centre d’Abadiana…
La plupart des 250 volontaires qui font tourner le Centre, sont des patients reconnaissants d’avoir trouvé une nouvelle vie après avoir été guéris par João et ses aides spirituelles. Condamnés par la médecine, ils sont venus à Abadiânia en dernier ressort. Parmi eux des ingénieurs, des docteurs, des dentistes, des professeurs, des laboureurs, des hommes d’affaires, ou des simples gens du peuple qui n’effectuent aucune cassure sociale entre eux, mais œuvrent ensemble afin de fournir un environnement attentionné et soucieux à ceux qui, comme eux-mêmes l’ont fait, viennent recevoir l’aide de João Teixeira.
Ces personnes chanceuses ont mis de côté les limites de leur pensée moderne et ont osé chercher l’impossible : être consolé non seulement par une seconde chance de vivre mais aussi par une nouvelle compréhension de leur raison d’être dans le monde.

L’homme en chaise roulante…
Aujourd’hui fut un jour spécial pour Raul Natal. Assis dans son fauteuil roulant qui lui sert à la fois de prison et de moyen de locomotion depuis plus de cinquante ans, il attend avec appréhension et espoir. Il n’ose pas exprimer ses attentes trop haut : il a vu tant de médecins, de spécialistes, durant ces longues années. Il a été radiographié, examiné, manipulé et médicalisé sans aucun succès jusqu’à ce que les docteurs et lui-même se résignent au fait qu’il ne remarcherait plus jamais.
Pourquoi aujourd’hui en serait-il autrement ?
Raul entendit parler de João Teixiera par des amis :
– « Il a guéri des milliers de malades et handicapés », disaient-ils, « peut-être pourrait-il t’aider aussi ?… » l’encourageaient-ils.
Qu’avait-il à perdre ?

Ainsi, tel un pèlerinage de la dernière chance, il a enduré les trente-six heures de bus depuis São Paulo jusqu’aux plateaux verts de Goias, état du centre du Brésil.
Il était 8 h 15 du matin, par un beau jour béni par l’air vivifiant de la haute montagne. Les personnes à la recherche d’un traitement -déjà 500 à 600- étaient emmitouflées dans le principal hall du Centre, calme, chacun avec ses pensées et ses espoirs, attendaient l’apparition du guérisseur.
Depuis sa position d’attente, au premier rang de la foule, Raul vit le médium rentrer par une porte latérale, les bras croisés, le regard intense…
João prit par la main une femme d’âge moyen et la fit tenir debout contre le mur. Fouillant parmi les instruments sur les plateaux portés par des volontaires, il sélectionna un banal couteau de cuisine et commença à extirper une tumeur de son œil. Sans anesthésie, ni stérilisation, et avec le seul emploi du couteau, il gratta et élimina la tumeur du globe oculaire, une procédure qui devrait logiquement créer une douleur intenable et des dommages irréparables, sans que la patiente ne montre aucun signe externe d’inconfort. Elle restait calme, appuyée contre le mur sans réaction observable. João ne semblait pas se concentrer, sa main exerçait habilement mais son regard se focalisait sur la foule, scrutant et cherchant. C’était comme si quelqu’un ou quelque chose d’autre que lui-même extrayait la grosseur. En moins d’une minute, il essuyait la lame sur sa blouse et appelait un de ses assistants : « Vous pouvez l’emmener, c’est fini. »

L’esprit de Raul se débattait, incrédule.
Son cœur battait plus fort et ses mains se mirent à transpirer.

Se pourrait-il possible, qu’après tant d’années, il puisse à nouveau marcher ?…

 

Les guérisons étonnantes d'un « homme miracle » brésilien…
Un article de la revue Nexus : volume V, n ° 2, (février-mars 1998) Australie.

En vente en Kiosque, en version française.

 
guérison spirituelle
   

extraits du livre de Robert Pellegrino-Estrich :
"The Miracle Man : the life s
tory of João de Deus"

Editions : Triad Publishers, Australie.

 

La Casa de Dom Inacio