• Les conseils, messages et prières qui vont suivre ont été communiqués par l'Archange Raphaël.




Mais qui est Raphaël ?

Au nom de Dieu il protège, délivre, guérit et sauve…

L’Archange Raphaël, guide céleste du Livre de Tobie, reste pourtant le plus méconnu des archanges.
Remède d’amour du Père pour le corps et les âmes malades, tendresse et douceur du Fils pour les cœurs meurtris, Lumière, refuge et baume salutaire pour les esprits égarés que nous pouvons tous être en ces temps de confusion,
l’Archange Raphaël est une aide précieuse à invoquer dans la détresse et les ténèbres.

Puissent ces textes vous inciter à prier et à demander l'intercession de Raphaël, modèle parfait de l'ange gardien, messager lumineux de la miséricorde divine !…

Prières de protection…

 

 

   






Seigneur,

Toi qui donnas à ton serviteur Tobie, pour compagnon de route le saint Archange Raphaël, daigne, à nous qui sommes tes serviteurs, accorder même assistance et protection…
par Jésus-Christ, Notre Seigneur.

Ainsi soit-il !







Seigneur tout-puissant et miséricordieux, veuillez me diriger et m’accorder un séjour de paix et de bonheur ;
que l’Archange Raphaël m’accompagne sur ma route afin que je revienne dans votre maison avec la paix, le salut et la joie…

Seigneur, ayez pitié de moi…
Christ, ayez pitié de nous…
Seigneur, ayez pitié de tous.






Glorieux Archange Saint Raphaël, grand prince de la Cour céleste, illustre par les dons de la sagesse et de la grâce, guide des voyageurs sur terre et sur mer, consolation des malheureux et refuge des pêcheurs, je vous supplie de m’assister dans toutes mes nécessités et les peines de cette vie comme vous avez soutenu le jeune Tobie dans ses pérégrinations.

Puisque vous êtes le remède de Dieu, je vous prie humblement de guérir mon âme de ses nombreuses infirmités et mon corps des maux qui l’affligent si cette grâce me convient. Je vous demande une angélique pureté afin de mériter ainsi d’être le temple vivant du Saint-Esprit.

Ainsi-soit-il !…






Par le pouvoir divin qui vous a été confié, vous, Raphaël, Prince de la milice céleste, soyez -nous vous en supplions- notre protecteur contre la méchanceté et les embûches des démons, de Satan et de tous les mauvais Esprits qui parcourent le Monde pour la perte des âmes.
Saint Raphaël Archange, défendez-nous dans le combat !…

Amen.

 


 

[un dossier : « Raphaël archange » concernant Raphaël et des prières pour demander sa protection, vous sont proposés sur notre site…]

 

 

 

 

 

La prière,
selon l'archange Raphaël

   

Instrument de ces communications, j'ai pu, comme tous ceux qui ont eu le bonheur de les entendre, découvrir leur beauté, leur valeur et leur importance car elles ont su faire retrouver à ceux qui l'avaient oublié, le chemin de Dieu.

Expression de ceux qui ne pouvaient extérioriser leurs sentiments dans un élan, elles ont été le support de leurs premières méditations, les amenant progressivement à élever leurs pensées et à découvrir au fond de leurs cœurs et de leurs esprits, le désir, puis le courage de s'adresser à Dieu.

Suscitant l'introspection et la remise en question, elles ont été, pour beaucoup, les amies des jours difficiles, des jours d'attente, des jours de doute et de découragement, en leur offrant la force vive des réponses puissantes et l'espoir solide.

Elles ont illuminé les horizons obscurs et à tant de mains qui ne pouvaient se joindre que parce que désespérément vides, elles ont apporté le plus pur des dons : celui de l'amour divin dans son éternité de puissance et de paix lumineuse.

Puissent-elles accompagner vos heures en vous donnant le bonheur d'atteindre le but de Lumière où flottera la bannière des espoirs accomplis.

marcelle olivério






Ecoutez, amis, les voix qui souvent en vous disent :
« Comprends et accepte ! ».

Les destins de chacun, par des chemins divers de souffrance, d’épreuves et d’angoisse, mènent chaque être vers ce point précis où les volontés du Plan Spirituel décident de vous conduire. Sachez, amis, que rien n’est gratuit : nos volontés et celles de vos Guides respectifs vous ont amenés à ce point précis où dans l’élan profond de l’âme, où dans l’espoir ardent de la réponse, vous venez tendre les mains en demandant, en suppliant que la lumière se fasse.

Ah ! Comme les ténèbres sont épaisses sur celui qui, ne reconnaissant que sa propre vie, repousse de toutes ses forces cette vie spirituelle sans quoi rien ne peut être.

Je sais que les esprits scientifiques, toujours à même de donner l’explication profonde et précise, trouveront à la présence de cette force sublime qui vous portera enfin, l’explication tranchante, qui, passant par les molécules, les cellules, les vibrations, les ondes et les explosions spontanées, les germes de vie latents, vous imposera le matérialisme des solutions.

[…]

Rien, amis, ne peut se faire sans la volonté infinie et toujours agissante de ce Dieu que beaucoup se refusent à reconnaître bien que tremblants et angoissés devant cette puissance lointaine et infinie qu’au fond de leurs êtres ils acceptent en tremblant mais qu’au regard des autres, en se posant comme des esprits forts définitivement débarrassés des stupides contingences religieuses imposées au cours des siècles, ils veulent nier.
Non, amis ! Non, amis ! L’orgueil est là toujours dans cette volonté définitive de n’accepter l’évidence tangible et présente.

Voyez-vous le vent qui souffle au-dessus de vos têtes ? Personne, amis, ne l’a jamais contemplé, et pourtant, bien qu’impalpable et invisible, vous l’acceptez, vous le reconnaissez, et qui plus est , en l’acceptant et en le reconnaissant vous l’appelez...« le vent » certes, mais que de noms donnés !
Il est zéphir quand doucement il frôle vos cheveux ;
il est brise quand délicatement il rafraîchit vos fronts ;
il est mistral quand déchaîné il arrache et emporte ;
il est bise quand, coupant et froid, il laisse sur vos peaux fragiles la marque rouge ou bleue, cuisante comme un fer rougi ;
il est le vent, et vous l’acceptez.

Avez-vous, amis, un jour vu l’électricité ? L’avez-vous vue ?
Et pourtant vous la dites la fée de vos foyers, vous, Humains, qui dans ce siècle ne pouvez plus rien sans l’électricité, car elle est partout : elle éclaire vos demeures, elle réchauffe vos corps, elle enjolive vos heures, et grâce à elle votre vie s’écoule agréablement car elle est la compagne propre et obéissante de tous vos désirs et de tous vos instants. Vous l’acceptez, amis, et vous la reconnaissez, et vos yeux pourtant ne la connaissent que par ses effets, car l’avez-vous vue, amis ?

Comme le vent et l’électricité, Dieu s’offre à vous.
Vous ne le voyez pas, amis, mais acceptez-le.

Il est justice car jamais il ne désavantagera l’un pour l’autre, et si les injustices vous semblent grandes en cette vie, que ne pensez-vous aux vies passées !
Il est bonté car jamais en vain une main ne s’est tendue sans recevoir son offrande d’amour, car il est amour et il est pardon.
Il vous semble terrible comme la bise coupante, mais il est doux comme le zéphir léger.

Il impose direz-vous, mais qu’impose-t-il ?
Rien que vous n’avez de vos propres chefs décidé d’avoir, rien !
Il n’impose qu’une chose : son amour,
Il ne demande qu’une chose : vos élans,
Il ne voudrait qu’une chose : vous voir lever les yeux et ouvrir vos cœurs.

Dieu est partout.
Donnez-lui comme au vent les noms qui chanteront en vous. Adressez-vous à lui comme vous le voudrez : à genoux, en courbant la tête ; debout, en le défiant du regard ; les mains tendues dans un geste de supplication ou la colère grondant au fond de vos âmes, dans l’acceptation de vos instants ou dans la révolte de vos vies.

Parlez-lui !
Parlez-lui avec des mots d’amour si doux, que vous-mêmes vous sentirez éperdus de bonheur, avec des mots de haine si terribles que vous frémirez de honte, avec des mots de colère si tranchants que vous en resterez tremblants, avec des mots précis, avec des mots balbutiants, avec des cris, avec des larmes ou avec des sourires de bonheur.
Parlez-lui, amis, adressez-vous à lui comme les poètes parlaient aux vents, en leur demandant de porter à leurs belles les mots d’amour sortis de leurs cœurs, pour que, dans une caresse infiniment douce, ils puissent déposer dans leurs cheveux la tendresse d’un geste, ils puissent déposer en frôlant leurs bouches la tendresse d’un baiser.
Comme les poètes, amis, parlez à Dieu en lui demandant de déposer dans vos cœurs la chaleur de son amour, de déposer sur vos êtres la puissance de sa protection.

L’étoile lointaine brille au-dessus de vos têtes. Vous la voyez, mais, pouvez-vous la tenir entre vos mains ? Et si les nuages tout à coup la cachent, si la nuit tout à coup se fait sombre, pensez-vous, amis, que cette étincelle de lumière ait cessé d’exister ?
La nuit est sombre, infiniment sombre, et vos yeux levés vers le ciel ne voient plus que l’encre profonde d’une écharpe immense ; vos cœurs se serrent d’angoisse dans cette obscurité paralysante, et pourtant, amis, vous savez que derrière cette barrière opaque, le ciel est encore clouté d’or, et vous acceptez l’étoile.
Comme l’étoile, Dieu est là derrière l’infini immense du mystère obscur, et si vos cœurs se serrent d’angoisse devant l’encre épaisse de ce mystère, sachez, amis, que Dieu est là et que sa Lumière étincelle.

Sans le voir, vous acceptez le vent ; sans la voir, vous acceptez l’électricité ; en ne la voyant plus, vous acceptez l’étoile. Je pourrais, amis, continuer longtemps ces comparaisons qui vous feraient enfin accepter Dieu.

Avez-vous vu, amis, la beauté majestueuse de la mer infinie et changeante ? Que voyez-vous d’elle ? Un miroir poli, des vagues moutonnantes, des reflets limpides : vous regardez la mer et ne voyez que l’eau.
Niez-vous, amis, que dans ces profondeurs, dans ces abîmes insondables, toute une vie s’agite ? Niez-vous, amis, l’existence des poissons, des coquillages, des rochers et des algues, niez-vous cela, amis ? Et pourtant vous ne les voyez point car seul le miroir brillant de l’eau s’offre à vos yeux ; et pourtant, vous acceptez le poisson, le rocher, le coquillage et l’algue, vous les acceptez.

Comme la mer, Dieu vous offre le miroir brillant de sa Lumière, comme la mer, Dieu cache sous ce miroir brillant les perles précieuses de son amour et de sa bonté. Alors, amis, si vous acceptez ce miroir brillant des eaux et son mystère profond, que n’acceptez-vous ce miroir brillant de Lumière et d’Amour et son mystère infini !

Chassez ces doutes de vos cœurs, chassez ces angoisses de vos âmes, et parce que Dieu est partout, parce que Dieu est présent, vous le chercherez et le trouverez dans la lumière des jours comme dans l’obscurité des nuits, dans le calme des campagnes comme dans le brouhaha des villes, dans la lumière et dans l’obscurité, dans les rues et les maisons, dans les chambres où le bonheur s’épand comme dans les chambres où la souffrance déchire les corps et brise les âmes, dans la paix des cloîtres et dans la honte des prisons où le vice se tapit et où l’innocence se désespère.
Oui, Dieu est partout, et où que vous tourniez vos regards, vous trouverez sa Lumière, et où que vous tendiez les mains, vous recevrez son offrande d’Amour.

Voilà, amis très chers.
Je ne voudrais pas avoir été importun en vous obligeant pendant quelques instants à analyser et à comprendre que l’Invisible est quelquefois plus présent que la plus tangible des présences.

Que la Paix du Seigneur soit sur vous.
Gardez en vos cœurs l’image et le sentiment de sa Grandeur et de sa Gloire, et gardez-Le en vous...

Raphaël Archange
médium : marcelle olivério






Raphaël :Lisez, enfants, ces lignes qu’un poète [Victor Hugo - N.d.l.r.] a, par notre volonté, donné à notre médium une nuit où la souffrance immense était en elle. Vous lirez, enfants, ces lignes sublimes où le doute, où la négation imposaient cette volonté profonde de refuser Dieu. Mais vous lirez, enfants, ces lignes sublimes où l’élan d’un cœur a fait passer au terme d’un épanouissement de l’âme accompagné d’un geste d’humilité, la force puissante de l’amour offert à Dieu, et comme lui, comme ce poète -dont les contemplations ont eu en cadeau final la Lumière- vous pourrez alors, après avoir levé les yeux et ouvert vos cœurs, dire ces simples mots :

« Dieu veille, et je crois... »

Acceptez, amis, ce message comme l’offrande délicate d’une tendresse infinie et sublime. Emportez avec vous ce bagage d’amour et de vérité, et gardez-le jalousement serré contre vos cœurs ; gardez-le pour y puiser à tous les instants de vos jours à venir cette force transcendantale que nous avons souhaité vous donner en cadeau.


La nuit a étendu sur la terre obscure son voile léger et diaphane.
Les étoiles, sur le sol humide, brillent comme autant de lumières, vibrent comme autant de souffles, et semblent donner à la nuit plus de profondeur encore.

C’est l’heure intense et douce où l’âme éperdue, tendue vers le sombre mystère qu’elle voudrait atteindre, cherche Dieu et l’appelle.

Calme et sereine est la nuit...

Les milles bruissements qui se font entendre semblent l’écho d’une vie invisible et insoupçonnée qui pénètre chacun jusqu’au cœur d’une nostalgie terrible et délicieuse à la fois.

Les yeux levés vers le ciel, l’Homme contemple l’obscur infini au-delà duquel il sait qu’il atteindra la vérité et qu’il pourra contempler Dieu en face...

Regarde et espère.
Ton âme se trouble et dans ton cœur la crainte et l’espoir cohabitent.

Lumières de la nuit infinie, vous qui brillez là-haut, faites que le ciel tout à coup s’illumine et s’éclaire. Faites que nos yeux puissent deviner au-delà des ténèbres, la lumière divine qui doit réchauffer nos cœurs.

La nuit est sombre, la nuit est douce, et il semble que l’on baigne dans une infinie tendresse, dans une douceur tiède et légère qui nous enveloppe subrepticement comme d’un voile diaphane.

Les yeux mi-clos, j’écoute...
Que de bruits !...
Je croyais la nuit silencieuse, mais je me rends compte tout à coup, que la nuit vit, vibre, crépite, chante, résonne de mille soupirs, de mille baisers, de mille sanglots...

J’écoute, et je ne sais si la peur ou la joie, si la terreur ou le bonheur m’habitent.

J’ai l’impression qu’en tendant la main, je vais pouvoir ouvrir les portes de l’infini, mais je reste là, immobile, et tout à coup, la tiédeur de la nuit me glace: je me sens si petit, si faible!
Je suis là sans force, comme aspiré dans l’immense mouvement qui se fait et s’élance comme un appel angoissé, et monte vers Dieu.

DIEU !...
Je ne peux plus douter, je ne peux plus qu’ouvrir mon cœur, car tu es là, présent, immense, puissant, terrible, et pourtant si bon, si doux, si tendre...

Je m’incline ! Je baisse la tête !
Comment ai-je pu un jour penser que je défierais Dieu ?

Je ne peux que m’incliner et dire :
– « Pardon, Seigneur, d’avoir douté ! La nuit est douce et tiède, et les mille bruits que j’entends sont les voix de tes anges... »

Lève les yeux, toi qui as douté ! et regarde au-delà du rideau sombre de la nuit briller la lumière de Dieu qui jette pour toi les milliers de perles de ses étoiles, douces comme un message d’amour et d’espoir.

La nuit est douce et tiède, et mon cœur calme et apaisé rejoint par-delà la terre, par-delà l’obscurité, l’infinie tranquillité de l’amour et de la vie.

Dieu veille, et je crois…

communication de Victor Hugo
médium : marcelle olivério
extrait du livre Ephphata

 

 

 

 

 

 

 

Thomas voulait toucher les plaies saignantes, le flanc ouvert, les chairs douloureuses pour croire que le Maître était là.

Heureux ceux qui croient sans voir,

parce que leur cœur s'est ouvert à l'univers d'amour,
et qu'ils en seront imbibés.

 
extrait du livre Ephphata 






Pourquoi vos prières ne s'élèvent-elles pas plus intenses et plus vibrantes, non des prières psalmodiées dans un rite établi mais des prières venues du fond de l'âme comme la lumière vient du fond de l'infini et submerge tout…
des prières venues du fond de l'âme qui, dans un envol, porteraient à Dieu l'intensité de vos espoirs et de votre attente, l'intensité de votre besoin de sa présence, de son amour…






Lorsque les jours te semblent sombres malgré le bleu intense du ciel, lorsque ton corps et ton cœur sont froids malgré la touffeur des nuits, lorsque tu te sens lourd et fatigué malgré la détente et le repos, lorsque tu te sens perdu au milieu de la foule ou dans la solitude de ta vie, alors,
crie, crie de toutes tes forces le nom de Dieu,
crie, crie de toutes tes forces le nom de Jésus,

appelle-les et il te sera répondu.

Jamais en vain les mains ne se tendent :
elles rencontrent toujours celles qui se tendent en retour.

extrait du livre Ephphata


 

 

 

Dieu n’abandonne jamais...


Il attend que l’Homme incline la tête, puis, quand l’être blessé et perdu daigne enfin se redresser et peut tendre les mains, Dieu ouvre les bras.

Glorifie Dieu et espère.


 

 
extrait du livre Ephphata






Isolez-vous simplement pour remercier Dieu pour la beauté infinie de son œuvre, pour élever vos âmes et les laisser se gonfler de la tendresse sublime et merveilleuse de l’amour donné et reçu.

Cherchez Dieu dans la paix,
Cherchez Dieu dans la beauté,
Cherchez Dieu dans l’harmonie éternelle et vivante,

Cherchez Dieu
dans l’élan de tout votre être tendu vers sa Gloire,

et parce que vous l’aurez cherché, vous trouverez cette force merveilleuse, vibrante, lumineuse et transcendantale qui fait que l’on ne peut plus oser sans faillir baisser les paupières et se reposer.






P
leure, toi que la beauté peut émouvoir jusqu’aux pleurs.
N’aie point honte de ces réactions incontrôlables qui sont en fait un hommage rendu à la grandeur de Dieu.
Regarde, et remercie Dieu de tant de splendeurs, de tant de paix, de tant d’harmonies.

Qu’est la beauté ?... Que peut la beauté ?...

La beauté, c’est le don de Dieu offert à l’âme qui veut s’élever dans la splendeur du Très-Haut.
La beauté, c’est la pureté du trait, c’est l’offrande des vibrations intenses aux cœurs qui s’ouvrent et répondent.

 

 

 

 

L’amour et la haine
ne cohabitent jamais
sous la lumière de Dieu.

Chasse la haine

et ne sois ouvert qu’à l’amour,
et alors, fort et puissant tu pourras.


 
extrait du livre Ephphata


Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau,
et moi je vous donnerai le repos.

MATTHIEU - Livre II, verset 28

 

 

 

 

 

Je sais, ami, que le poignard qui pénètre dans les chairs est toujours cause d’une déchirure intense et que la souffrance est horrible et insupportable.

Alors, pour l’accepter en l’endurant, ouvre ton pauvre cœur meurtri
à un amour plus grand,
à un amour plus doux,
à un amour plus durable,
à un amour unique, qui, pansant tes blessures te réconfortera et te portera vers une autre vie :

l’amour divin.

Raphaël Archange
extrait du livre Ephphata
médium : marcelle olivério

 

 

Que ne pensez-vous à la vraie vie,

la vie en Dieu...

 
extrait du livre Ephphata



 
   

Nul n’est besoin de s’isoler des heures sur les dalles froides d’une église, dans la solitude où l’on se persuade que l’on retrouve Dieu dans sa présence infinie.
Certes, Dieu est là, mais Dieu est partout :
dans le silence des campagnes, dans le ciel pur ou noir, dans la paix des montagnes, dans le secret des demeures closes, dans les chambres où les chairs torturées par la souffrance se tordent, dans les prisons où le vice se tapit et où l’innocence se désespère.

Dieu est partout,
dans la clarté des jours et dans le velours des nuits.
Dieu est partout et attend,
car, Dieu est près et dans chacune de ses créatures.

Va au-devant des souffrances et tu iras au-devant de Dieu.
Va au-devant des misères et tu iras au-devant de Dieu
.

Raphaël Archange
médium : marcelle olivério
extrait du livre Ephphata


 

 

N’oubliez jamais de sourire
au malheureux qui pleure,

N’oubliez jamais de réchauffer
le malheureux qui a froid,

N’oubliez jamais d’être doux
avec le malheureux qui souffre.

Tendez vos gestes vers l’entraide,
la bonté, l’amour, la charité.

 
extrait du livre Ephphata

 

Offrande des dons,
Offrande de la charité,
Offrande de l’amour,
seuls les cœurs qui aiment peuvent vraiment offrir, puisqu’avec leur tendresse ils offriront, je l’ai dit, la charité de l’amour, l’amour, l’espoir, la force profonde et vive,
et le secret de l’offrande est vraiment le secret de l’amour.

Donne… et un jour tu recevras,
et reçois pour donner et offrir.

Accepte en toi l’amour de Dieu comme le plus beau et le plus pur des dons…

Raphaël Archange
médium : marcelle olivério



 

La prière,
selon l'archange Raphaël

 

 
la prière, selon l'archange Raphaël…