• Inauguration du Centre Nouveau pour la Renaissance du Spiritisme… [C.N.R.S.]

 

Spirite

Visa pour l'Au-delà…

 


 
   

C’est avec une immense joie au cœur que nous sommes tous réunis, Esprits de lumière attentifs à tendre vers vous une main d’affection, Esprits curieux attendant de voir le travail qui sera fait à l’intérieur de ces murs, Esprits souffrants qui veulent, l’angoisse au cœur, s’approcher de la Lumière projetée à l’intérieur de ces lieux pour se réchauffer et se réconforter, Esprits mauvais et pervers qui souhaitent pénétrer insidieusement le cœur de certains d’entre vous et manipuler leurs esprits, et simplement, Esprits moqueurs, Esprits légers, Esprits inconsistants et insouciants qui virevoltent dans l’inconscience du geste comme des papillons qui vont de fleur en fleur sans savoir où se fixer, en espérant toujours plus et mieux que ce qui leur est offert.

Près de chacun de vous, enfants, des entités attentives parce qu’imprégnées d’amour et de tendresse : un père plein de trouble, dont la tristesse immense voudrait en apaisement une entente retrouvée entre ces enfants qu’il a laissé, se penche vers l'un de vous.
Ami, que tes pensées s’élèvent plus fortes et plus puissantes, ; accepte de recevoir l’offrande de nos vibrations de paix et d’amour. Permets que nous t’inondions de tout ce fluide qui t’est strictement nécessaire pour une régénération inéluctable.
Tu devras, ami très cher, composer dans tes contacts avec les tiens, en les modelant de toute ta force d’amour, de compréhension et de charité.

Des vieillards sont là, des êtres plus jeunes que l’on pleure encore et que souvent on appelle au secours en demandant un peu d’attention et de réconfort.
Ils sont tous là, présents, unis dans le même geste d’attente, d’espoir, de joie, car, aujourd’hui, amis très chers, viennent de s’ouvrir les lourdes portes, les portes monumentales qui séparent votre Plan terrestre et humain de notre plan spirituel, et ces portes, en s’ouvrant sous la poussée de deux mains que nous avons chargées de force et d’amour, ces portes en s’ouvrant, laissent apercevoir cet horizon bleuté d’espoir et teinté de pureté lumineuse.

Que seront vos jours, enfants ?

Certes, la curiosité était grande dans certaines âmes, la curiosité, le doute, l’angoisse, car l’attente de l’événement mystérieux et nouveau fait naître au fond des cœurs troublés, le sentiment de presque souffrance, de l’ignorance qui voudrait, tout en refusant, aborder le problème qui de jour et de nuit hante et angoisse.

Un baptême du feu pour beaucoup d’entre vous, amis, que ce contact avec ces entités que vous aviez cru pouvoir approcher dans des entretiens préliminaires qui, hélas, malgré la fascination exercée, ne vous avaient apporté que désillusion et, dois-je le dire, épreuves.

Pourquoi ces amis lointains n’ont-ils pas accéléré leurs pas pour participer à ces moments alors que nous aurions voulu tendre vers eux une main, écran de Protection et de Lumière, qui aurait pu les débarrasser des Ombres noires et denses accumulées autour de leurs êtres, les enserrant dans une prison difficilement franchissable ?
Les pas des humains les conduisent, hélas, vers les chemins qu’ils croient de facilité, car la fraise de leur orgueil tient haut des têtes qui se veulent pleines d’éléments qui ne sont reçus que par eux et qui ne sont offerts qu’à eux…

Lorsque la brume, lentement, jette une écharpe légère sur toutes choses, assourdissant les sons et voilant les lieux, les humains, croyant pouvoir, continuent à avancer d’un pas alerte vers cet horizon qui peu à peu s’estompe et disparaît. Ils s’enfoncent dans ce brouillard qui leur semble léger… Ils avancent, et, lorsque tout d’un coup, l’angoisse au cœur, ils ont l’impression que cette brume épaisse les pénètre et les étouffe, ils veulent tourner leurs regards pour chercher l’issue vers laquelle ils dirigeront leurs pas pressés ; mais hélas, trompés, aveuglés, perdus, ils prennent le chemin qui ne les conduira pas vers le havre de paix douillet et tiède, mais celui qui les conduira plus vite vers le gouffre profond où ils s’écraseront si une main amie ne vient les tirer ou les arrêter.
Si j’ai déjà cité cette image, amis, c’est que quelques-uns d’entre vous ont déjà, dans un passé proche, pris ce chemin des brumes en s’écartant du chemin de Lumière.
Trompés, fascinés, mais tellement sûrs d’eux et de leurs éléments, ils auraient continué longtemps sur ce chemin difficile et dangereux, si nous n’avions fait tinter à leurs oreilles une voix amie, expression de nos vérités et de nos volontés.

Merci, amis, d’avoir accepté les conseils qui vous ont été prodigués ;
merci, amis, d’avoir accepté d’ouvrir vos cœurs et vos esprits à ces réalités nouvelles ;
merci, amis, de tendre vos efforts à balayer en vous les quelques lambeaux qui traînent encore sur des fonds que nous voudrions voir plus purs.

Chacun, à son jour, à son temps, va sur le chemin qui le conduira vers sa finalité terrestre et humaine, dans ce transit de quelque temps qui lui permettra, de palier en palier, peut-être un jour, de changer de Plan…

Que seront vos jours, amis ?…

Accepterez-vous ce travail intérieur strictement inéluctable pour arriver à ce but ?
Accepterez-vous, amis, les souffrances que vous aurez à subir ce faisant ?…
Souffrances, épreuves, travail, difficultés, remises en question, analyse, abnégation, humilité, amour, compréhension, espoir et foi : voilà, amis, les instruments que nous vous offrons pour forcer votre passage à travers des taillis épineux et difficiles pour aller plus loin, vers ce chemin lumineux et pur où vous atteindrez Dieu.
Nous faisons cette offrande à chacun d’entre vous, enfants, et, pour que la route ne soit pas trop longue, avec des forces qui diminueraient, nous vous offrons, amis, un léger bagage, un bagage qu’à votre intention personnelle et individuelle nous avons rempli de vibrations d’amour et de paix et que nous avons entouré d’un halo de Lumière venu des sphères lointaines où des Esprits affectueux et attentifs, sans cesse, veillent sur vous.

Je voudrais donner à chacun un message aujourd’hui, mais il me faudrait pouvoir m’entretenir cœur à cœur avec chacun, car les sensibilités pourraient être froissées si nous nous exprimions pour cette première entrevue devant un public attentif. Permettez-moi cependant tous, amis, de vous délivrer en quelques mots un message que chacun gardera en lui et fera sien :
secouez l’orgueil de vos êtres, enfants,
balayez les éléments de sarcasme quelquefois ironiques, balayez les pensées critiques, acceptez la sincérité, la franchise comme l’appui le plus sûr pour avancer sur le chemin qui vous mènera vers la paix.
Pas de faux-semblants, amis, pas de visages souriants qui ne sont en fait que des masques convulsés de jalousie ou de haine…

Paix sur vous, enfants, paix sur vous !
Que vos esprits s’apaisent, se calment, pour ne rester que miroirs tranquilles.

Les vagues tumultueuses déferlent, et dans un bruit puissant, balaient, arrachent et emportent. Tout tremble, et on regarde, l’angoisse au cœur, ces murs liquides qui s’abattent et qui terrorisent. Mais, lorsque la tempête s’apaise, l’eau, docile, comme… matée par une main invisible, petit à petit, vient lécher la berge comme dans une caresse, cette berge que quelques instants auparavant, elle affrontait dans un combat dantesque et sans merci.
Que vos esprits, amis, soient comme l’eau dominée, et que la caresse des vibrations de paix qui vous imprégneront alors soit l’offrande d’un élément d’espoir, car, si vous savez apaiser vos données intérieures, vous saurez faire le geste de tendre la main pour fermer la porte sur vos éléments négatifs et ternes en ouvrant une autre porte sur un horizon de beauté pure et vraie.

Je voudrais, amis, vous dire que la porte une fois ouverte ne peut se refermer complètement quand deux forces unies appuient sur le même ventail pour le repousser et laisser un passage.
Vos forces humaines et nos forces spirituelles se sont trouvées aujourd’hui pour se mêler, mais hélas, pour certains, pour… s’affronter.

Tendez vos efforts, enfants, vers ce but lointain vers lequel nous vous conduirons si votre main sait se poser avec confiance dans ces mains que nous tendons vers vous. Alors, enfants, imprégnés d’autres éléments que ces pauvres éléments humains, replongés dans la source spirituelle où vous vous fondrez un jour, régénérés, vous avancerez en vous retournant pour regarder le chemin parcouru, ce chemin que vos yeux ne pourront plus apercevoir, car, petit à petit, il disparaîtra à votre vue, et vous comprendrez alors, que nés des Ombres, vous avez avancé vers la Lumière peut-être encore inaccessible mais réelle et vivante de ce Dieu qui est toujours dans vos cœurs ;
et le cœur gonflé de joie, le cœur gonflé d’espoir, vos lèvres répétant un merci sincère, vous avancerez plus légers vers ce point lointain qui, peu à peu, grandira à vos yeux, et vous approcherez cette Lumière merveilleuse qui, en illuminant cette fois votre horizon trouvé, vous apportera dans la paix infinie, la joie immense de pouvoir dire enfin, sans arrière-pensée, en toute sincérité, avec reconnaissance et humilité :

« Gloire à Dieu !… »

Message reçu de l'archange Raphaël
Médium : marcelle olivério