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Ou…comment tenter d'aider ceux qui souffrent.







la fondation c'est aussi…

 
 Par exemple, l'achat de peinture pour la réfection de bâtiments publics (écoles, gymnases) ;

mais c'est aussi l'achat de matériels scolaires, de vêtements ou de nourriture pour les plus démunis ;
cela peut être aussi le règlement d'examens médicaux et l'achats des médicaments ;
la réparation de véhicules quand elle est justifiée : travail ou maladie (dialyse ou chimiothérapie) ou encore le règlement du ticket de transport pour des cas très spécifiques, comme permettre à des parents de visiter un enfant malade… ou, dans le cadre scolaire, lors de sorties pédagogiques etc. etc.







 

1 000 mercis !

 

       Nous profitons de cette occasion pour remercier ceux qui ont permis, de part leur générosité, la réalisation de ces projets qui nous tenaient tant à cœur.

       Nous voulons remercier plus particulièrement ceux qui ont participé à la réfection du réfectoire et des cuisines de la fazenda contrairement à certains qui ont refusé d'y participer sous prétexte que « si ces gens étaient en prison c'est qu'ils avaient fauté et qu'en conséquence, ils devaient payer… » en oubliant, ce faisant, le commandement de Dieu :
– « Tu ne jugeras point !… »

       Nous voulons remercier aussi, par la même occasion, les autorités brésiliennes responsables du centre pénitencier ainsi que les responsables de la fazenda sans qui les projets d'irrigation puis de distribution de nourriture et enfin d'aménagement du réfectoire et des cuisines n'auraient pu être menés à bien.

       – « Pensez toujours aux prolongements que peuvent engendrer nos actes… » se plaisait à répéter marcelle olivério. Cette pensée nous revient à l'esprit car les ministères concernés n'auraient probablement pas pensé à organiser des cours d'alphabétisation à des prisonniers si les locaux ne s'y prêtaient pas, la hiérarchie refusant jusque là la construction d'un espace pédagogique.


Encore 1.000 mercis…