Mgr
Lustiger, archevêque de Paris, estime que «
cette société qui n'a le mot "jeunesse"
à la bouche, en fait, ne sait pas aimer les jeunes.
» dans un entretien au « Monde » publié
au premier jour des J.M.J. Selon lui, « les jeunes
sont sacrifiés dans l'impitoyable lutte qui se
joue pour le travail, pour une éducation digne
de ce nom (
) pour l'éclosion de leur personnalité
». Ils sont « les victimes de la déstructuration
des rôles parentaux, des relations de l'homme
et de la femme, voire de leur identification. Les conséquences
sont trop connues : suicides, drogue, dérégulation
des pratiques affectives et sexuelles. Comment évolueront
ces générations auxquelles on n'aura pas
appris à maîtriser leur sexualité,
ni à user de leur liberté ? »
[N.d.l.r.
- Constat de faillite des Educateurs (enseignants
parents
), des politiques et des
religieux
. Force est de constater qu'il dit vrai : c'est un échec
!
Mea culpa
mea culpa
mea maxima culpa
]
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